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Sommaire
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, nous sommes nombreux.ses à revoir nos priorités… Changer de travail, partir vivre au vert ou à l’étranger… Autant de décisions qui doivent être réfléchies étape par étape ! Conseils d’experts.
Selon Philippe Gabilliet, professeur de psychologie et de management à l’ESCP Business School, il est important de clarifier son désir : est-ce pour fuir une situation problématique (un métier qui nous ennuie, une relation toxique…) ou pour suivre un rêve de toujours, trouver une meilleure qualité de vie, des relations plus humaines ?
« Dans le second cas, on est dans une perspective positive et une démarche proactive, ce qui peut vraiment contribuer à réussir son nouveau départ, analyse-t-il. En revanche, la fuite se nourrit de pensées et de souvenir désagréables, et il est difficile de bâtir quelque chose de durable sur des ruminations. »
Ses conseils :
Passer de la fuite à la quête, en se posant la question : que vais-je pouvoir faire de ce changement une fois libéré de mon fardeau ? « Autrement dit, se projeter dans sa prochaine vie et imaginer tout ce qu’elle nous apportera de positif : rencontres, lieux, émotions… Et plus on va s’ancrer dans ce nouveau projet, plus il a de chances d’être pérenne et satisfaisant. »
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Acheter une vieille ferme à la campagne sans avoir jamais bricolé peut vite tourner au cauchemar, de même qu’investir dans un foodtruck simplement parce que l’on aime cuisiner ou s’expatrier dans un pays dont on ne parle pas la langue. « Il est important de s’incarner dans le réel, de s’interroger sur ce que l’on doit apprendre pour réussir son changement », insiste Philippe Gabilliet.
Ses conseils :
Suivre une formation, s’inscrire à des cours de langue, faire des stages auprès de professionnels afin d’acquérir le minimum de compétences pour bien démarrer : « S’imprégner dans la réalité permet aussi de vérifier que le changement de vie rêvé est vraiment celui dont on a envie. »
Philippe Gabilliet estime que, parmi nos proches, trois sortes de « profils » vont réagir lorsqu’on annonce un changement de vie :
- les « facilitants », ceux qui vont nous dire : « Tu as raison ! C’est génial ! fonce ! » ;
- les « inhibants », qui vont tenter de nous décourager : « Tu es fou ! Tu es trop jeune (ou trop vieux) ! C’est du gâchis avec tous les diplômes que tu as ! » ;
- enfin, les « progressants », ceux qui, tout en comprenant nos motivations et en souhaitant que notre projet aboutisse, nous poussent à réfléchir sur sa faisabilité. Par exemple, si on décide de s’installer dans une maison ancienne : « Très bien, mais c’est toi qui la retapes ou ce sont des artisans ? Comment ça va se passer pour les finances ? Et ton travail ? »
Ses conseils :
Privilégier les relations avec les « progressants ». Même s’ils nous poussent dans nos retranchements, ils peuvent mettre le doigt sur des problèmes auxquels on n’avait pas pensé. « Si l’on change de région, il ne faut pas non plus hésiter à faire appel aux réseaux relationnels ou potentiels locaux avec lesquels, sur place, on pourra trouver un appui pour s’implanter. » Par exemple une association professionnelle (de dirigeants, d’artisans…), sportive (si l’on souhaite continuer à pratiquer l’activité que l’on aime)…
Même si le projet n’est pas commun, l’idéal est que tout le monde soit d’accord. « Sinon, celui ou celle qui le porte aura beau mettre en avant tous les bénéfices du changement, l’autre, qui n’a rien demandé, verra d’abord ce qu’il risque d’y perdre : des amis, un train de vie, un travail… », souligne l’expert.
Ses conseils :
Procéder en deux étapes.
- Expliquer clairement à son entourage impliqué les raisons de son désir de changement : pourquoi on veut se reconvertir (parce que notre travail nous épuise, ne correspond plus à nos valeurs…), se rapprocher d’une ville (on se sent trop isolé, nos problèmes de santé nécessitent d’avoir un hôpital à proximité…) ou au contraire de la nature (stress urbain devenu insupportable…).
- Demander quelles sont les conditions qui rendraient à leurs yeux le projet acceptable, par exemple, dans le cas d’un déménagement à la campagne, s’installer non loin d’une gare TGV. Voir aussi ensemble tout ce que l’on pourra conserver de la “vie d’avant”, comme aller régulièrement voir tel ami… « Il faut accepter que cet échange conduise à retoucher le projet, à en revoir les détails, de façon à ce qu’il soit finalement validé par tout le monde. »
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Est-ce le bon moment ? Ai-je toutes les cartes en main ? Selon Philippe Gabilliet, l’atermoiement est le pire ennemi du changement : « Celles et ceux qui sautent le pas ne sont jamais complètement prêts, du moins pas le jour où ils posent la première pierre de leur nouvelle vie. Si vous « attendez d’être prêt », vous traiterez votre changement de vie comme un horizon, c’est-à-dire comme une illusion d’optique. »
Ses conseils :
Poser des actes fondateurs. Sans aller jusqu’à démissionner du jour au lendemain, on peut commencer par demander un bilan de compétences, s’inscrire à une formation, ébaucher une lettre de démission… avant de tout plaquer pour la campagne, on peut passer ses prochaines vacances près du lieu qui nous tente, idéalement l’hiver, regarder les annonces immobilières sur internet, faire le tour des banques, se renseigner sur les transports, les écoles…
« En mettant en oeuvre des actions concrètes, parfois modestes, vous augmentez vos chances de réussite. Car ces actions finissent par créer une configuration dans laquelle un scénario plus proche de vos désirs profonds et de vos attentes réelles, va commencer à se déployer. »
Quand on est dans une période de fragilité, comme un deuil, une déprime, un divorce, décider de tout changer sur un coup de tête peut être très risqué, insiste Christine Marsan, psychosociologue, coach et consultante en accompagnement aux changements.
« Il est alors en effet difficile d’avoir une vision globale de la situation pour prendre les bonnes décisions, et l’énergie nécessaire pour mobiliser les ressources ,et enclencher le processus de changement. Si on est dans le flou, il ne faut pas hésiter à se faire aider ou conseiller par un professionnel pour faire le point. De même, si on a vécu des situations de changement qui ont échoué à chaque fois, par exemple de job ou de partenaire. Se faire accompagner peut alors permettre de ne pas refaire les mêmes erreurs. »
Il est probable que les choses n’aillent pas exactement comme on l’avait prévu ou espéré… « Que l’on se sente déstabilisé, déçu ou frustré est normal, mais cela ne doit pas nous décourager pour autant », rassure la coach.
Ses conseils :
- Se laisser du temps. « Tout changement de vie nécessite une période d’adaptation pour prendre ses marques qui, généralement, dure plusieurs semaines. »
- Prévoir des ajustements. « En mettant par exemple en place des pratiques qui permettent d’améliorer la pénibilité physique sous-estimée de son nouveau métier : séances régulières d’ostéopathie, activité physique… » Ou en envisageant un coworking si, après des années de travail en entreprise, on se sent trop isolé(e) depuis que l’on est en free-lance. « La perte de proximité, quand on s’installe à la campagne, peut aussi être compensée par la mutualisation des services entre voisins, ou encore, si les commerces sont un peu éloignés, par l’inscription à des associations du type Amap (Association pour le maintien d’une culture paysanne, N.D.L.R.). »
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